novembre 20, 2016

COURTAGE

 

Nous sommes le lien entre vous et vos futurs clients. Notre rôle est d’abord de cibler un bassin de clients potentiels intéressés à votre offre, mais nous allons encore plus loin. Nous le suivons et l’accompagnons pendant sa période de réflexion pour ensuite, l’inviter à s’asseoir avec vous pour en discuter sérieusement. N’est-ce pas un irritant de faire vos propres appels ? Êtes-vous systématique dans votre façon de faire? Et honnêtement, est-ce votre spécialité? Nous accélérons votre cycle de vente et facilitons l’entrée chez vos clients potentiels et ce, dans le respect de votre image de marque.

Courtier Alimentaire Inc est en quelque sorte votre stratège sur le terrain afin de conquérir cette nouvelle clientèle.
Dans plusieurs cas, nous venons compléter votre équipe de communication ou de marketing interne dans
l’application concrète de leur vision de développement des affaires avec nos conseils issus d’expériences
testées et éprouvées.

 

COÛTS ET MODALITÉS

Les services d’un courtier en alimentation qui entretient des relations étroites avec ses clients et s’emploie à mettre au point d’efficaces programmes de soutien des ventes pour eux sont d’une valeur inestimable pour un manufacturier.

La connaissance que possède le courtier en alimentation des établissements commerciaux ajoute de la crédibilité à une ligne de produits, et, quand l’appariement » est bon, donne une base solide pour le mandant et pour le courtier.

Il importe donc pour l’entreprise canadienne de trouver le « bon » courtier pour ses produits.

En général, dans ce marché, une commission de 5 à 6 % est payée sur les produits de marque et de 3 à 4 % sur les produits de marque de distributeur (marque maison). Les produits d’usage courant commandent parfois une commission plus élevée. Lorsqu’une ligne de produits n’a pas de réseau de distribution établi, beaucoup de fabricants choisissent de payer une commission mensuelle minimum de 1 500 à 2 500 $ . Cette commission minimum est payée pour rembourser le courtier pour les dépenses qu’il fait pour établir un nouveau produit sur le marché pendant qu’aucune commission régulière n’est perçue.

Le fabricant de produits alimentaires devrait aussi considérer la taille relative du courtier en alimentation. Le potentiel de l’entreprise devrait être proportionnel au niveau de revenu généré par les lignes de produits qu’elle tient. Par exemple, une petite entreprise canadienne pourrait ne pas intéresser les gros courtiers américains, mais trouver preneur auprès des petits courtiers qui cherchent à accroître leur clientèle et sont davantage prêts à s’engager avec un fabricant moins bien établi.

Cela dit, la taille est finalement une question de préférence. Tandis qu’une grande maison de courtage aura un plus gros réseau de contacts, un petit courtier sera sans doute plus attentif à ses clients.

Une campagne de commercialisation réussie exige temps et effort. Un courtier ne voudra pas mettre du temps et de l’énergie à établir une marque pour voir le fabricant l’abandonner pour un autre. Pour cela, il n’est pas rare qu’un courtier demande un contrat garanti d’un an avec possibilité de renouvellement suivant les résultats obtenus.

Enfin, il importe que le fabricant soit patient. Étant donné l’environnement extrêmement concurrentiel, il faut compter environ six mois pour obtenir une commande après avoir trouvé un courtier en alimentation. Les rendez-vous, la présentation des produits, l’approbation des produits et les remontages de rayons ajoutent beaucoup à l’échéancier. De plus, certains acheteurs n’examinent les lignes de produits qu’à des moments précis de l’année, tandis que d’autres doivent franchir l’étape supplémentaire de trouver un distributeur pour une ligne de produits avant qu’elle soit présentée au marché.